Le capteur LVDT (Linear Variable Differential Transformer) peut fournir des informations fiables par rapport à la performance de l’oscillation.
En réalité a qui croit ça, est trompe, mais cette hypothèse est très courante chez les fabricants qui possèdent des machines hydrauliques en technologie LVDT. Par contre le capteur LVDT il est seulement déplacement absolu qui convertit une distance à partir de cylindre hydraulique.
Après avoir réalisé un test d’oscillation de moule sur une MCC de billettes équipée de deux cylindres et d’un d’amortisseur à ressort hélicoïdal, des erreurs considérables d’amplitude ont été remarquées. De plus, la ligne #6 présentait de graves problèmes de qualité du produit et de productivité.
Collecte des Données
On a observé grâce au dispositif de monitoring d’oscillation et à l’analyse de déplacement que le côté gauche (capteurs 1 et 2) et le côté droit (capteurs 3 et 4) ne complétaient pas le cycle de trajectoire projetée par la machine. Il y avait aussi une différence de plus de 1.0 mm entre l’aile droite et l’aile gauche. Dans d’autres mots, l’aile droite avait une dérivation de 1.3 mm de moins que prévu et le côté gauche 0.35 mm.
Pendant l’opération de maintenance périodique, on a trouvé l’un des ressorts d’amortissement rouillé et abîmé. La rouille avait fragilisé la flexibilité du ressort, ce qui empêchait la table d’oscillation d’accomplir le mouvement requis. Cela met en évidence que le capteur LVDT est incapable de détecter ce type de défaillance.
Le capteur LVDT est très important pour contrôler la performance de l’oscillation, spécialement lors de son premier stage. Cependant, il faut avoir un système sensible et très précis pour mesurer les déplacements réels du moule et de la table d’oscillation.
Conclusion
Il y a beaucoup de pièces mécaniques entre le cylindre et la table d’oscillation : ressorts, paliers, accouplements, boulons de fixation, entre autres. Quand l’un de ces éléments qui peuvent altérer la trajectoire prévue du moule, est endommagé, seulement des lectures faites par des accéléromètres positionnés aux quatre coins de la table d’oscillation peuvent détecter des défaillances de manière précise et aider la réalisation de procédures correctives subséquentes.
